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20 mai 2011 5 20 /05 /mai /2011 09:44
Un roman de Hélène Couturier qui dévoile
les méandres de la justice familiale et des
services sociaux 
les assistantes sociales et les psychologues qui
règles leur propre problème d'enfant avec les gens
dont ils ont le suivi.
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14 décembre 2010 2 14 /12 /décembre /2010 16:19

En effet leur incompétente va au delà de tout ce que l’on aurai pu imaginer.

 

 - Apres que l'ASE a abandonné mon fils de 17 ans dans la rue pendant trois mois sans m’en

   informer, alors que j’ai toute mon autorité parentale.

- Laissé perpétrer des actes de violences sur lui par des jeunes au sein même du foyer qui l’avait

  en charge.

- Avoir refusé qu’il puisse lui-même déposer une plainte pour ces mêmes actes de violence.

 

   L’ASE ce distingue a nouveaux dans cette maltraitance institutionnel qui la caractérise.

 

   Ma fille de 14 ans est en fugue depuis 5 jours et les services de la protection de l’enfance ce

   garde bien de me le faire connaître.

 

- Apres qu’elle est pris contact a plusieurs reprise avec son éducateur, pour lui faire par de son mal

   être et des problèmes quel rencontre au sein de sa famille d’accueil et au collège.

-  Qu'elle ait fait plusieurs fugues et tentatives de suicides Celui-ci la tout simplement envoyer

    balader de son bureau, sans même chercher à la retenir dans sa fuite et voyant que l’on ne

    l’écoutait pas elle a même essayer de se tailler les veines.

 

    Pourquoi sont ils la, pour aider les enfants, les protéger ou seulement les voler aux familles pour

    ce remplir les poches et laisser les enfant dans un désarrois total.

 

Non assistance à personne en danger Art. 223-6 du code pénal

Mise en péril de mineur Art. 227-15 du code pénal

Mise en danger d’autrui par négligence Art. 121-3 du code pénal

Atteinte involontaire à la vie Art. 221-6 du code pénal

Rétention d’information

Fausse déclaration

Dissimulation de preuves

Faux et usage de faux

Abus de pouvoir….

Visant a fausser toutes les décisions  judiciaire sur la mesure educative concernant ma famille.

Art. 434-4, 441-1.......

La liste est longue, et de la part de professionnels cela est encore plus grave, surtout encouragé par la juge pour enfant.

 

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3 décembre 2010 5 03 /12 /décembre /2010 16:39

L’œuf est pourri dans la coquille.

Je comprends aujourd’hui l’inaction du président de SOS Villages d’enfant à Paris sur les problèmes que je rencontre depuis des années avec leur structure de Marly les Valenciennes.

En effet je viens de recevoir un témoignage d’une maman qui a aussi ses enfants placés mais aux sein du SOS Villages à Marseille.

Et bien oui, celui que je croyais moi-même irréprochable, n’est que du trompe l’œil, comme leur pub. Brimades, maltraitance physique et psychologique, non respect des droits de visites, etc… sont monnaie courante dans ces villages sos, ou l’on fait passer la mère pour folle, ou les enfants subissent l’aliénation en bonne et du forme.

Ils brisent les liens avec les parents et entre les enfants, il est beau le maintien de la fratrie comme dans leur pub larmoyante à faire pleurer les chaumières, mais le plus triste n'est pas ce qu'il veulent vous faire gober.

Ces pervers narcissique ont une formation et sont trié sur le volet pour être le maltraitant type.

Aujourd’hui j’en suis sur ces SOS Villages d’enfants non rien a voir avec ce qu’ils font croire pour récolter des fonds, mais un commerce dont la marchandise est nos enfants, tous ces spots ne sont que de la publicité mensongère.

Je comprend pourquoi le directeur par le biais de ses avocats me répondait que je faisais du tort a leur marque, et oui une marque c'est bien le mots qu’ils ont employés, donc commerce, donc marchandises.

Non seulement ses gens demandes des dons, mais sont grassement payé pas les conseils généraux, pas moins de 6000 € par mois et par enfant, soit pour une fratrie de trois enfants 18000€ par mois, c’est bien payé en sachant ce qu’ils font avec nos enfants, ils sont nourri au lance pierre et ne mange pas la même chose que la famille d’accueil "que l'on appel mère SOS" et oui ça existe ce n’est pas un film série noir mais bien une réalité, des gens menteurs et des fourbes digne de causette. Les Thénardier cela existe encore et payé pour ça.

 

Voici le témoignage: 

Bonsoir, je me présente Christelle, je suis âgée de 32ans et je suis maman de trois super enfants que j'aime par dessus tout.
Mon cauchemar a commencé en 1999, j'étais enceinte de mon fils que nous appellerons k et ma grossesse s'est déclarée être à risque. Je ne vais pas tout raconter dans les moindres détails mais juste dire qu'à la suite de la naissance de mon fils, j'ai appris par la justice qu'il a été victime de violence par son propre père.

En état de choc, j'ai perdu pied et déprimée. J'ai pleuré mon fils. Le père a été condamner à 10ans.il a purgé sa peine mais malheureusement mes enfants et moi même sommes séparés car mon fils a été très tôt placer en pouponnière sous décision des services sociaux, de la juge et l'ase. Je n'ai pas tenu le choc et mes filles ont été placées sous décision de justice alors qu'elles ne sont en aucun cas en danger avec moi.

Depuis j'ai retrouvé une vie équilibrée, retrouvé un emploi en CDI et j'ai refait ma vie avec mon nouveau compagnon avec qui je vis depuis trois ans. Le seul hic est que je me sens démuni auprès de ces institutions. Mes filles sont en souffrance permanente, elles sont tiraillées entre la mère SOS et moi-même, qui suis leur propre mère.

Elles sont actuellement placées chez SOS village d'enfants donc à Marseille et elles sont manipulées, l'année dernière en novembre, elles ont pu me parler lorsque nous étions de sortie toutes les trois et elles m'ont appris que la mère SOS  Béatrice chaine leur faisait subir des violences que ce soit physique ou psychologique, cette mère SOS a à plusieurs reprises à parler de moi et donner une image très négative à mes filles d'une mère qui n'avait pas d'argent, qui était malade, etc...cette mère SOS est allée jusqu'à monter, installer une jalousie et une rivalité entre mes filles en comparant leur cadeaux de valeurs que je leur faisais et fait encore,ma fille morgane en est arrivée à penser que j'aimais plus sa soeur aînée Mélanie qu'elle. Le choc pour moi.

J’aime mes enfants tous les trois autant l'un que les autres et de la même manière. ce sont des faits parmi tout ce que j'ai pu vivre. L’ase qui ne fait rien pour m'aider. je me bats pour récupérer définitivement mes filles mais je me sens impuissante et démunis malgré l'aide de mon avocat. Les dossiers continuent de traîner et je ne sais pas vers qui me tourner pour faire accélérer les choses. Actuellement je suis sans nouvelles de mes enfants. Je ne les ai pas vu depuis trois mois. J’ai beau contacter le SOS Villages d’enfant, l'assistante sociale pour faire valoir le calendrier de mes visites et prendre des nouvelles de mes filles. je n'en ai aucune. Je suis très inquiète. Je leur laisse des messages sur les répondeurs mais je reste dans le silence.

http://sos-parents-abuses.forumactif.com/presentation-f1/au-nom-de-mes-enfants-t97.htm#169

Texte édité avec l'accord de sa créatrice.

 

Quelques témoignages sur SOS VILLAGE sur le forum public social fr avec des gens de la profession.

http://www.lesocial.fr/for ums/read.php?f=5&i=105213& t=105213

"Auteur: amil
franchement je ne trouve pas le village SOS très bon pour les enfants. j'ai y travaillé et je peux dire que les enfants avaient du mal a accepter qu'une mère sos prenne la place de la leur. les nombreuses paroles des enfants sur leur vie au village témoignent de cela. je pense qu'il est bien de réfléchir aux professionnels qui dorment sur leur lieu de travail!!! "

"Auteur: sabrina
accompagnement de confiance avec un minimum de respect et de considération pour les enfants de la part de beaucoup de "mères S.O.S"!!! tout ce que j'ai marqué, a été murement réfléchit, ce n'est en aucun cas diffamatoire..Je ne vous connais pas et ne sais pas où vous avez bossé, mais une chose est sure..vous êtes loin de savoir ce qui s'est passé sous le toit de la villa 6 (et pas seulement) à Marseille.
Quand j'ai parlé de dé fouloir,, je pense vraiment peser mes mots!! Justement quand vous parlez de don de soi, il n'y pas plus d'accord que moi..Pour certaines le don de soi, rime avec "abus d'autorité" et j'en passe..Frapper les enfants à la tête avec une queue de billard, fracasser la tronche contre les murs, gifler à confondre une tête avec un poutching ball, les humiliations, la castrassions identitaire etc, etc..."


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29 septembre 2010 3 29 /09 /septembre /2010 14:41

Ce qu’en dit l’auteur : « Notre objectif est d’informer le grand public sur les postures des institutionnels que nous côtoyons 365 jours par an depuis 25 ans. Notre expérience dans les dossiers de dysfonctionnement de la protection de l’enfance est édifiante, elle vous révèlera avec exactitude la réalité humaine constatée sur le terrain. Vous constaterez le délabrement de la défense des droits humains, totalement bafoués dans les cas présentés.

Nos associations travaillent au plus près des enfants maltraités, nous les soutenons au quotidien, au jour le jour, nous étudions de manière chirurgicale les pièces des dossiers qui nous sont confiés, et pas quelques minutes ou quelques heures dans un bureau feutré, mais pendant des jours, des mois, des années que durent des procédures interminables qui ne rendent jamais justice à la souffrance des victimes, rien n’échappe à notre lucidité.

L’un de nos objectifs majeurs est de comprendre pourquoi et comment on peut en arriver à des catastrophes pareilles.

Nous, contrairement aux gens du système, nous écoutons les enfants, respectons leurs paroles, vérifions leurs dires. Nous pouvons certifier que ces enfants ne mentent pas quand ils se plaignent à nous des maltraitances et des abus qu’ils subissent dans leur famille.

En Justice, les faisceaux de présomptions qui confirment les confidences tragiques de ces enfants pourraient être suffisants et servir de preuves aux magistrats.

Mais il y a cette fameuse affaire d’Outreau qui est passée par là !

Alors, la Justice française balaie d’un revers de main ces cas qui la dérangent : dans les divorces conflictuels avec suspicion de maltraitances et d’abus sur les enfants, les preuves ne sont jamais suffisantes et les indices concordants ne sont jamais pris en compte.

Les pouvoirs publics (magistrats, experts psychiatres, services sociaux, gendarmerie, police, etc.) préfèrent évaluer ces situations graves à travers la grille du politiquement correct issu de l’affaire Outreau, plutôt que de prendre en compte la réalité des faits : il faut savoir que contrairement aux idées reçues à la mode actuellement, les fausses allégations d’abus sexuels ne représentent à peine que 4 à 7% des cas.

Par peur de l’erreur judiciaire qui serait fatale à leur carrière, les magistrats préfèrent fermer les yeux sur tous les dossiers sensibles de maltraitances et d’inceste, principalement quand des notables y sont impliqués : classements sans suite des plaintes, non lieux hâtifs, incohérences dans les procédures, garde des enfants victimes confiée à leur parent bourreau, tandis que leur mère protectrice, déclarée folle et menteuse par des expertises de complaisance, est réduite au silence et privée de ses enfants.

Prenons un exemple tiré de l’un de nos cas réels, raconté dans le livre : un petit garçon de 4 ans qui déclare avoir été violé et chez qui le médecin urgentiste d’un grand hôpital public constate un hématome anal, sera considéré par le système judiciaire français comme un fou affabulateur qui a seulement un peu de constipation chronique ! Et où cet enfant finira-t-il ses jours, jusqu’à sa majorité, et par décision de Justice? Chez son père, son bourreau, à 100% de son temps, avec interdiction de revoir sa mère, sauf parfois de temps en temps, dans un centre social.

Alors que la loi contre l’inceste vient d’être votée en France, il n’y a toujours aucun changement dans le quotidien des enfants martyrs au sein de leur famille, ni dans les décisions de ceux qui sont supposés faire appliquer la loi. Ces drames déjà dénoncés par l’ONU dès 2002, confirment le classement désastreux de la Justice française au 37è rang des pays européens. »

 

ladies.worldwide@laposte.net

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18 septembre 2010 6 18 /09 /septembre /2010 08:20

Un faux en écriture publique est un acte très grave. Les auteurs sont passibles de la réclusion criminelle. Il s'agit donc d'un CRIME. Un faux est une altération frauduleuse de la vérité.

 

Article 441-4 
En vigueur depuis le 1 Janvier 2002
Modifié par Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 - art. 3 (V) JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002.


Le faux commis dans une écriture publique ou authentique ou dans un enregistrement ordonné par l'autorité publique est puni de dix ans d'emprisonnement et de 150000 euros d'amende.

L'usage du faux mentionné à l'alinéa qui précède est puni des mêmes peines.

Les peines sont portées à quinze ans de réclusion criminelle et à 225000 euros d'amende lorsque le faux ou l'usage de faux est commis par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public agissant dans l'exercice de ses fonctions ou de sa mission.

 

Lire la suite ici 

 Sur le site "les Abus des service sociaux"

par Séverine

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3 septembre 2010 5 03 /09 /septembre /2010 19:07
Radio-Galere.JPGDepuis près de 30 ans, Radio Galère vogue à contre-courant sur le 88.4 MHz marseillais pour porter sur les ondes la voix des galérien-ne-s, celle des luttes, des alternatives et de la solidarité.

Les 4 et 5 septembre 2010, la radio a lancé la première édition de son festival « Paroles de Galère », à prix libre, qui s'est déroulé à proximité de ses studios, dans la rue de la Verrière, près de la salle Seita à La Friche Belle de Mai.



Le festival « Paroles de Galère », était à l'image de la radio : ouvert à tout public et résolument populaire. Il se veut celui de tou-te-s celles et ceux qui ont une parole à dire, avec ou sans papiers : habitant-e-s des quartiers, précaires, actrices et acteurs du mouvement social, radioteuses et radioteurs, plasticien-nes, performeur-ses, vidéastes, chanteur-ses, musicien-nes.



Autour d'un forum d'expressions populaires, s'est tenu des débats, des concerts gratuits, un bal populaire, un restaurant associatif, autant d'occasions de nous rencontrer et de partager nos paroles de galère et d'invention. Pour voir le programme et les horaires, c'est par ici !

http://www.parolesdegalere.net/

Sans titre1Et chaque lundi soir comme depuis le mois de Mars Radio Galère ouvre son antenne aux parents d'enfants placés, de 19 a 20 heures. Vous pouvez réécouter les émissions enregistrer depuis mars http://sos-parents-abuses.forumactif.com/presse-information-evenements-emission-radio-tv-f6/emission-sur-la-protection-de-l-enfance-t54.htm
Festival Paroles de Galère 
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Sans-titre6.JPG Sans-titre8.JPG
Sans-titre10.JPG Sans-titre9.JPG



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28 août 2010 6 28 /08 /août /2010 21:49

Dans le Gers une histoire sordide on lui enlève son enfants de façon injuste 

elodie001

Elodie Gers

Cliquer sur l'article du journal pour l'agrandir

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15 juin 2010 2 15 /06 /juin /2010 05:44

APPEL A TEMOIGNAGE
En vue des 4ème assises nationales de la protection de
l’enfance de parents dont les enfants sont les principales
victimes des abus :
- des services sociaux,
- des magistrats des Tribunaux des Affaires Familiales, des Tribunaux
pour Enfants


Depuis mars 2010, Radio Galère donne déjà la parole aux
parents privés d'enfants qui seront sous représentés 28,29 juin 2010 aux
assises nationales de la protection de l’enfance de Marseille.
http://www.radiogalere.org/

Agathe animatrice de cette radio recueille les témoignages de ces parents coupables

- d'avoir eu affaire à l'aide sociale à l'enfance,

- d'avoir demandé de l'aide à l'aide sociale à l'enfance. Et que celle- ci à broyer.

Puis l'accusation à charge ne s'arrête jamais. ces parents,
certes, mais leurs enfants!

 5 minutes, Votre parole de parents en audio est recueilli en mp3,

à télécharger et envoyer sur l’adresse : aglo30@hotmail.fr

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14 juin 2010 1 14 /06 /juin /2010 20:25

Emission du 14 Juin 2010

Forum SOS Parents Abusés

 

 

Ce témoignage parle de lui même, ce n'est pas un cas isolé,

la preuve que dans d'autres régions les parents subissent les mêmes abus.

A par ca je suis paranoîaque doublé du syndrome de la persécution,

merci, merci n'en jeté plus la coupe est pleine.

Je les ai subis dans le nord et maintenent dans le sud,

je m'apercois quelque soit l'endroit ces gens sont imbus d'eux même,

d'une terrible prétention, d'une effrontée satisfaction,

Mais certainement pas Humain.

 

A bientot mes tres cher(e)s.

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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 17:43

 

Privée de ses enfants, elle attaque l'Etat

Elle n’a pas vu ses enfants depuis 16 ans. La justice lui a pourtant accordé un droit de visite.

Lire aussi l'article dans Varmatin  Publié le mercredi 19 mai 2010 

Michelle 16 ans sans enfantsLa dernière fois qu’elle les a vus, ils avaient entre 6 et 16 ans. Ses quatre enfants ont aujourd’hui 16 ans de plus. Michelle Olivieri-Bauer a attaqué mardi l’Etat pour "faute lourde" devant la cour d'appel d'Aix-en-Provence. Motif ? Elle est privée de ses quatre enfants, trois filles et un garçon depuis des années et ce, en dépit d’un droit de visite qui lui a été accordé par la justice.

"La justice aurait dû maintenir les liens entre mes enfants et moi, ce qu’elle n’a pas fait et c’est très grave. J’attends que les juges reconnaissent leur faute. Ils ont massacré ma famille. Je vais mourir sans revoir mes enfants et sans connaître mes petits-enfants. J’ai tout perdu", s'est désespérée Michelle Olivieri-Bauer, au micro d'Europe 1.

En 1993, une procédure de divorce est engagée entre Michelle Olivieri-Bauer et son mari. Ce dernier enlève les enfants à la sortie de l’école. Quatre ans plus tard, la cour d'appel d'Orléans confirme un jugement de 1994 et accorde un droit de visite à la mère pour ses deux enfants encore mineurs, dans un point rencontre et en présence d'un tiers. Une décision de justice restée lettre morte.

La CEDH lui donne raison

Après avoir intenté plusieurs procédures pour non-présentation d'enfants à l'encontre de son ex-mari, Michelle Olivieri-Bauer a décidé de saisir la Cour européenne des droits de l’homme. Le 28 février 2006, la juridiction européenne lui a donné raison en estimant que le service français de la justice avait commis "une faute lourde constituée par son incapacité à protéger son droit à une vie familiale".

Faute de réactions de la part de la justice, Michelle Olivieri-Bauer a décidé d’intenter une action contre l’Etat pour faute lourde. Le TGI de Toulon a rejeté sa demande il y a un an. L’affaire est aujourd’hui entre les mains de la cour d’appel d’Aix en Provence.

Aliénation parentale ?

"La justice n'a pas rempli sa mission de service public qui est de préserver le lien entre les parents et l'enfant, et les liens familiaux en général", a indiqué l’avocate de la mère, Me Christine Ravaz, du barreau de Toulon. Michelle Olivieri-Bauer va plus loin et évoque l’aliénation parentale dont seraient victimes ses enfants. L'avocat de l'Etat, Me Pierre Conte, a, lui, plaidé la prescription des faits.

La décision a été mise en délibéré au 18 mai. En attendant, Michelle Olivieri-Bauer a tenu à lancer un appel pour ses enfants : "je suis toujours vivante, je vous attends et je vous aime".


Aujourd'hui une affaire qui va faire jurisprudence pour les familles, car la cour d'appel d'Aix en Provence a rendu ce jour son verdicte.


L'Etat condamné pour déni de justice

AFP
18/05/2010

La-cour-d-appel-d-Aix-en-Provence.-630420_scalewidth_300.jpgL'Etat a été condamné mardi par la cour d'appel d'Aix-en-Provence pour déni de justice à l'encontre d'une mère de famille privée de ses quatre enfants depuis son divorce fin 1993, en dépit d'un droit de visite. Michelle Olivieri-Bauer, une ancienne parachutiste de l'armée âgée de 61 ans qui vit à Toulon, est la mère de trois filles et un garçon, qui avaient de 7 à 19 ans la dernière fois qu'elle les a vus, il y a 16 ans, à l'exception d'une seule rencontre avec sa dernière fille remontant à 1997.

Elle poursuivait l'Etat pour faute lourde en l'accusant notamment de ne pas avoir fait le nécessaire pour que les multiples décisions de justice rendues dans cette affaire soient appliquées. En 1999, elle avait entamé une procédure pénale à l'encontre de son ancien mari pour non-représentation d'enfants, à la suite d'une trentaine de plaintes restées sans effet. Plusieurs décisions sont intervenues depuis.
L'arrêt de la cour d'appel indique mardi que "le degré de simplicité de l'affaire et l'absence de maîtrise de l'appelante sur le calendrier de la procédure d'appel conduisent à retenir un déni de justice" en considération des délais mis en oeuvre par la justice.

Il condamne l'Etat à verser 5.000 euros de dommages et intérêts à la mère au titre du préjudice moral qu'elle a subi "pour avoir dû attendre pratiquement cinq années pour obtenir une décision contradictoire". "Sur le principe, le déni de justice vaut toutes les condamnations possibles", s'est félicité l'un des avocats de la mère, Me Christine Ravaz. "Cela va faire avancer, j'espère, la justice familiale dans la voie de la rapidité. Cette décision honore la justice française", a-t-elle estimé.

"Les enfants vont savoir que leur mère a été victime d'une erreur très grave de la justice et que si elle a perdu le lien avec eux, ce n'est pas de sa faute", a-t-elle ajouté.
L'avocat de l'Etat, Me Pierre Conte, avait plaidé la prescription et l'autorité de la chose jugée à l'audience le 20 avril. En 2006, la Cour européenne des droits de l'Homme avait déjà donné raison à la plaignante en estimant que le service français de la justice avait commis "une faute lourde constituée par son incapacité à protéger son droit à une vie familiale".

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/05/18/97001-20100518FILWWW00521-l-etat-condamne-pour-deni-de-justice.php

 

 

 

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Présentation

  • : Association SOS Parents Abusés © Créé le 2 janvier 2009
  • : A l'origine les villages SOS ont été créé, pour recueillir les enfants orphelins. les responsable du villages de Marly les valenciennes ce comporte de la même façon pour les enfants qui ont encore des parents, pour cela les éloigner et tous les prétextes sont bon. Mon combat récupérer mes enfants, placés par la justice, et en famille d'accueil dans ce Villages SOS. C'est une lutte silencieuse à armes inégales © Chaque année des milliers de familles sont brisés par ce système
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SOS Parents abusés

Chaque année des milliers de familles ce retrouvent confrontés au placement abusif des leurs enfants sans danger ni maltraitance, juste sur des risques potentiels ou suspicions, déclenché sur de simple dénonciations calomnieuse. Ce climat hostile a généré ses dernières années met un doute sur les réels motivation du service de la protection de l’enfance.
Cela met en danger tous ces enfants en pertes de repères et met inutilement en souffrance des familles, cela coûte chaque année des milliards, comme nous le fait remarqué la cour des comptes.
Seule a penne 20% des placements effectués cet avéré de la maltraitance, mais on maintien malgré tout, les autres enfants placés souvent dans des conditions psychologique déplorable, qui est apparenté a de la maltraitance « institutionnel ».
Les parents ce mobilisent pour faire respecter leurs droits et ceux de leurs enfants et maintenir un lien que certains essais de détruire coûte que coûte, par ses services qui ce disent protéger les enfants, en ne respectant pas leur droit de visites, téléphonique, s’opposant au rapprochement, mais aussi en ne respectant les personnes qu’ils sont.©

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